Ce n’est pas la taille qui compte

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Notre système solaire est composé d’une étoile et de huit planètes gravitant autour d’elle (nous avions vu que Pluton avait changé de statut). Au centre se situe l’étoile naine Soleil, puis les planètes Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Mais avez-vous une idée de la différence de diamètre équatorial entre elles ? C’est d’autant plus impressionnant comparé aux étoiles Sirius (Constellation du Grand Chien), Pollux (Constellation des Gémeaux), Arcturus (Constellation du Bouvier), Rigel et Aldébaran (Constellation du Taureau), Bételgeuse (Constellation d’Orion), ou encore d’Antarès (Constellation du Scorpion).

Retour sur Terre pour une opposition qui fait débat entre scientifiques et religieux. En observant le ciel, les astronomes ont constaté que si les paramètres de l’Univers avaient été à peine différents, la présence de l’Homme aurait été très improbable voire impossible. Comment expliquer cette précision, cette coïncidence ? La question porte le nom de principe anthropique, et renvoie à l’idée que l’Univers aurait été créé en vue de l’apparition de l’Homme. S’il y a eu une telle intention dans la création c’est, peut-être, qu’il y a eu un créateur attentionné. Ainsi la question de la place de l’Homme, de l’ajustement des paramètres cosmiques et du rôle d’un éventuel créateur sont liées. Toutes ces interrogations et faits scientifiques peuvent être consultés dans le hors-série de Ciel & Espace : L’Univers a-t-il besoin de Dieu ?