
Le clavier que nous utilisons ne date pas des premiers ordinateurs. L’imprimeur américain Sholes a inventé la machine à écrire en 1868 et a disposé les lettres de manière à ne pas taper trop vite. Un comble pourrait-on dire, mais la mécanique de l’époque se bloquait trop souvent si les lettres les plus usitées étaient côte à côte. Sinon n’aurions-nous pas le A sous l’index ainsi que le Q suivi du U pour enchainer de nombreux mots ? Les lettres les plus utilisées ont été réparties de manière à éloigner le plus possible les tiges frappées, et donc le blocage. Plus aucun problème avec nos claviers informatiques actuels mais l’habitude perdure. En dépit de ceux qui ont tenté de changer les choses, le AZERTY reste en France et en Belgique, le QWERTZ en Allemagne, Suisse, Autriche, République Tchèque et Hongrie, tandis que le QWERTY domine le reste du monde.
C’est pour ca que d’autre disposition de clavier existe tel que la disposition Dvorak : fr.wikipedia.org/wiki/Dis…
Optimisé pour l’anglais, le bépo en est une variante adapter au français : bepo.fr/wiki/Accueil
Dans la foulée : justement depuis l’informatique, des chercheurs ont cherché à augmenter la vitesse de frappe en changeant la disposition des touches. C’est le clavier Dvorak.
Cependant, son efficacité n’est pas réellement prouvée, d’autant plus quand l’utilisateur est déjà habitué au clavier AZERTY/QWERTY.
L’un des inconvénients est que la disposition change pour chaque langue dans l’idéal, pour tenir compte du dictionnaire de chaque langue.