Un Américain amoureux croyait avoir fait porter des roses à sa maîtresse en toute discrétion. C’était compter sans la reconnaissance du fleuriste qui, quelques mois plus tard, a expédié à son domicile une lettre de remerciements assortie d’une offre de réduction sur de prochains achats. Ce courrier a été réceptionné par l’épouse de l’intéressé, laquelle s’est empressée de réclamer des précisions. Le commerçant, serviable, lui a faxé une copie de la note de $100 établie pour la livraison de douze roses et d’une peluche, le double du mot doux que l’expéditeur y avait joint et même le nom et l’adresse de la destinataire. Avec ces pièces accablantes, la dame a obtenu le divorce à des conditions très favorables. Le mari tente d’obtenir du fleuriste un million de dollars en dédommagement. Une bonne raison de ne plus offrir de présent à sa ou ses bien-aimées !